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VILEBREQUIN ET PLASTIC ODYSSEY ENSEMBLE POUR LUTTER CONTRE LE PLASTIQUE DANS LES OCÉANS

01 septembre 2021 - Collaborations

Se jeter à l’eau pour mettre fin à la pollution plastique. Cet automne, Vilebrequin et l’ONG Plastic Odyssey ont besoin de vous. Pour les aider, il vous suffira… d’un maillot de bain !

A man wearing a printed men’s swim shorts

il s'agit d'une bannière vidéo décorative qui ne contient pas d'informations importantes

Two man from the back with Plastic Odyssey Polos

MEDITERRANEAN CONNECTION

Plus de 200 000 tonnes. C’est la quantité de plastique qui chaque année finit en mer Méditerranée, selon un récent rapport de l’UICN. L’équivalent de plus de 500 containers chaque jour, un chiffre qui risque de doubler d’ici 2040 si nous n’agissons pas au plus vite.

Profondément attaché à la Méditerranée, où sa propre odyssée a débuté en 1971 à St Tropez, Vilebrequin agit depuis des années contre la pollution marine. Témoin le Seaqual®, introduit il y a plusieurs saisons pour le MAN, nouvel essentiel de la Maison : un fil au toucher luxueux 100% recyclé, utilisant des plastiques récupérés en Mer Méditerranée par les marins pêcheurs locaux.

Chaque MAN offre une seconde vie à 200 gr de déchets plastiques. Et d’ici 2023, les matières recyclées ou recyclables représenteront 80% des collections de maillots de bain et de prêt-à-porter Vilebrequin. Un cap vers un futur plus durable que nous nous engageons à tenir contre vents et marées, été après été.

Pour Plastic Odyssey, Vilebrequin crée un MAN pour la première fois une version imprimée exclusive aux accents océaniques mêlant le logo de l’ONG à son iconique tortue de mer. En choisissant ce maillot, chaque client fera une contribution directe de 30 euros aux projets de l’association.

VILEBREQUIN X PLASTIC ODYSSEY

Découvrez le modèle

TROUVER DES SOLUTIONS EN MER ET SUR TERRE

Plastic Odyssey et Vilebrequin ont un but commun : trouver des solutions innovantes pour un océan plus propre, en commençant dès l’amont. Car lorsque le plastique arrive en mer, il est déjà trop tard: 1% seulement du plastique océanique reste en surface, le reste coule ou bien se décompose irrémédiablement en microplastiques qui intègreront la chaîne alimentaire. Saviez-vous que nous ingérons en moyenne 5 grammes de plastique par semaine ? Une perspective à vous nouer l’estomac…

Conscient que les défis globaux appellent des réponses locales, Plastic Odyssey entreprend un voyage de 3 ans sur 3 continents, faisant escale dans 30 villes différentes. Après avoir pris la mer en France cet automne, leur navire-laboratoire mettra le cap vers les régions les plus touchées par le fléau des plastiques : 80% de la pollution marine provient aujourd’hui des pays en développement.

Réduire et recycler les déchets plastiques avant qu’ils n’atteignent l’océan peut être à la portée de tous. Porteur de ce message fort, le navire de Plastic Odyssey disposera d'un laboratoire de R&D embarqué pour développer des technologies de recyclage (tri, broyage, extrusion, pyrolyse...) ainsi que d'un showroom pour sensibiliser les communautés locales et les rendre autonomes sur les alternatives.

Quand il s’agit de nos océans il n’y a ni petits changements ni petites contributions.